Nadine découvre le serment d'Hippocrate

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il y a 8 ans

Elle avait pris le rendez-vous le matin même car sa gorge la faisait souffrir depuis quelques jours. A son appel, la secrétaire médicale avait pu lui donner une consultation pour l'après-midi. Elle ne connaissait pas encore ce nouveau médecin arrivé il y avait peu dans sa ville.

14h30, elle arrive un peu en avance, devant au préalable remplir quelques documents administratifs.

Age : 30 ans. Profession : représentante en lingerie. Célibataire, sans enfant.

La secrétaire la fait ensuite rentrer dans la salle d'attente, quelques revues sans intérêt sur la table. Un peu nerveuse, elle feuillette machinalement la première sur la pile. Une revue féminine parmi tant d'autres, avec son lot de conseils beautés, pages modes et tendance. L'éternel questionnaire psychologique « Etes-vous assez libérée avec votre compagnon ». D'autres articles, tourisme, consommation, et une enquête sur les pratiques soft sexuelles de nos contemporaines.

Le généraliste arrive alors et la fait rentrer dans son cabinet. Présentations d'usage, deux, trois mots pour la détendre. Puis, il s'enquiert de la raison de sa venue. Mal de gorge assez fréquent mais là plus accentué qu'habituellement.

Il note sur son ordinateur et lui indique qu'étant la première fois qu'il la prend en consultation, il va procéder à la prise de poids et de taille. Merci de vous déshabiller, gardez vos sous-vêtements. Nadine s'acquitte de cette consigne rassurée par la voix chaude du praticien et par son calme, ainsi que son bienveillant regard. Quel âge peut-il avoir.. Pas beaucoup plus qu'elle, il a du terminer ses études de médecine il y a peu de temps.

Elle se place sous la toise, les pieds bien serrés... 1m 69, une taille qui la fait remarquer dans la rue quand elle porte ses habituels talons hauts. Sur le pèse personne électronique, une voix énonce un peu mécaniquement 53kg400.

Nadine est fière de son corps et elle porte une des parures qu'elle distribue, coton et dentelle noire et rouge sur le soutien-gorge 95 C et son tanga de taille 38. Sa chevelure brune mi longue souligne une silhouette qui ne laisse pas indifférent. Le médecin retourne devant son ordinateur et reporte les indications sans sembler montrer un quelconque trouble. Le fait que ce soit un homme ne gêne pas Nadine, mais devant lui ainsi dévêtue, elle avait un peu frissonné intérieurement.

Allongez-vous sur la table d'auscultation luis indique t'il avec toujours ce ton professionnel et courtois, tout en étant très doux mais ferme. Nadine lui tend le bras droit pour la prise de la tension. Il place le large bracelet et prend son bras contre lui avec son stéthoscope. Il la maintient contre lui pendant la prise de sa tension, et elle sent un bras bienveillant. 13/7 bien, aucun souci. Passons à la suite, veuillez vous asseoir sur le bord... Il ausculte son dos et écoute sa respiration, puis elle se place face à lui et il dépose son appareil sur la chair de son sein gauche qui légèrement sort du balconnet. Elle sent alors que l'appareil s'insinue sous le tissu vers son mamelon. La main gauche du praticien a, quant à elle pris possession tranquille de son épaule gauche.

Elle est un peu surprise et dit timidement, Docteur, cela se passe t'il bien ? Vous détectez un problème de poumon ? Pourquoi me tenez vous ainsi ? Taisez-vous, mademoiselle, je ne peux entendre ni vous ausculter correctement si vous parlez... Je suis à l'écoute du moindre indice et je dois être au plus près...

Respirez, soufflez, encore, encore, oui, respirez en gonflant bien vos poumons. La main droite qui tenait le stéthoscope commençait à appuyer plus fermement sur le sein gauche. Ah, enlevez votre soutien-gorge mademoiselle je ne suis pas bien sûr d'un léger sifflement, je vous aide ? La bretelle gauche est aussitôt rabattue sur le bras avant que Nadine n'esquisse avec étonnement de dégrafer son charmant ensemble. La poitrine ainsi libérée bat plus fort car une douce inquiétude s'ajoute au mouvement respiratoire désormais plus ample. Le contact un peu froid du stéthoscope rend la pointe du sein plus sensible et elle s'érige malgré elle.

Merci, mademoiselle... je peux effectivement percevoir plus aisément un léger sifflement, outre votre gorge inflammée, il y a un ennui respiratoire.. Ce n'est pas bien grave, mais un examen plus complet s'annonce nécessaire.

Nadine, troublée et intriguée, mais aussi imperceptiblement conquise par ces mains douces qui lui donnaient sensation, réconfort autant que diagnostic répondit d'accord, Docteur, que dois-je faire ?

Elle avait inconsciemment caché ses deux globes de chair aux larges aréoles d'une main faussement pudique. Ses jambes avaient repris une position allongée sur la table. Son buste restait droit soutenu par la main du praticien dans sa nuque. Celui-ci avait reposé le stéthoscope derrière lui.

Il est utile que je vois votre respiration dans une autre position, veuillez vous mettre à quatre pattes, les jambes fléchies, reposant sur vos chevilles et genoux, le corps horizontal et vos mains et avant-bras à plat sur la table. Respirez, oui , je vois votre poitrine se gonfler et se détendre... Je vous maintiens les hanches pour sentir votre corps vivre. Mes mains sont à bonne température, ça va ? Si vous avez une sensation de froid, rassurez vous, cela ne va pas durer.

Nadine sentit une main se détacher de sa hanche droite, elle n'y prêta pas une attention spéciale pensant que le médecin prenait un matériel d'auscultation supplémentaire peut-être. Non, la main revint se poser en l'effleurant , elle ressentit un frémissement de sa peau à la fesse droite. Sans lui laisser le temps de dire quoique ce soit, la main gauche du praticien quitta aussi sa croupe mais pour venir aussitôt s'abattre avec vigueur sur cette fesse qui n'attendait pas une telle issue. La douleur fut plus une douleur d'étonnement qu'une vive chaleur. Le souffle coupé, elle reçut avant de pouvoir esquisser un mouvement de prise d'air une volée alternée de claques sur ses deux fesses, les mains volaient, suspendaient leur courbe et fessaient avec plaisir les formes rebondies qui se coloraient de grâce rouge. Elle hoqueta, Doc Docteur, non, non, je n'aime pas vos gestes, mon corps n'est pas votre objet.

Tais toi, Demoiselle ! Tais toi, Je ne t'autorise pas la parole, mais seulement les cris dont tu voudras bien Me donner à Moi, ton Maître Fesseur, ton Docteur Fesseur ! Oublie ta gorge et fais chanter tes fesses, tu les entends, elles brillent, elles illuminent, elles se révèlent le meilleur traitement .

Sois modeste, aujourd'hui comme Novice tu as gardé ta culotte, la fois prochaine ce sera nue que tu recevras !

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